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Les moules

Les mythiques moules-frites sont dans le cœur de tous les Français et synonymes de vacances et de convivialité.

Les plaisirs sont multiples avec ce coquillage à la chair jaune ou orangée incomparable : certes marinières mais aussi en tapas, à la crème, au curry, farcies ou en éclade sur les braises.

Les bienfaits

L’anatomie d’une moule

La moule est un bivalve. Sa coquille est noire et lisse. Grâce à deux puissants muscles, celle-ci s’ouvre pour faire entrer l’eau et se referme pour protéger l’animal des prédateurs et se maintenir fermée hors de l’eau.

Comme l’huître, la moule possède un manteau permettant de fabriquer la coquille, d’être sensible au milieu extérieur et d’enserrer les branchies dans une cavité où circule l’eau. Grâce à ses branchies, elle filtre l’eau pour respirer et pour retenir le plancton dont elle se nourrit. La moule possède aussi un byssus associé à son pied : c’est un écheveau de filaments se terminant par des micro-ventouses et qui lui permet de se fixer.

La reproduction

La moule ne peut changer de sexe à volonté. Contrairement à l’huître, elle doit se contenter d’une seule et même fonction pour la vie. Les spermatozoïdes sont transportés au gré des courants. Heureusement, vivant en colonies, les moules ne sont jamais bien loin les unes des autres et les spermatozoïdes peuvent pénétrer dans la cavité branchiale de la femelle pour féconder l’ovule. La femelle, ovipare, rejette les embryons, à peine formés, sous forme de larves. Plusieurs pontes ont lieu chaque année et à chaque ponte, un million de larves par individu sont ainsi laissées au soin de l’océan.

Les conseils pratiques

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